Les Plaisirs des PlaisirAddict

Chapitre 4 :

Nous nous intallâmes donc confortablement dans notre jacuzzi 3 places et lançâmes aussitôt le premier cycle, mettant en route à pleine puissance les jets d'eau et le système d'air ainsi que l'éclairage qui changeait de couleur de façon autonome. 

Nous étions enfin dedans, nous laissant bercer par le massage, la détente et le bien-être que ce type d'appareil peut procurer. Un cycle, puis un second. Déjà 40 minutes de passées quand nous lançâmes le troisième. Il faut dire que les "derniers" kilomètres nous avaient copieusement stressés entre une circulation totalement bloquée, des axes totalement saturés en cette veille de week-end, et une adresse difficile à trouver malgré un GPS performant, mais selon les dire de l'hôtel, tout les clients rencontrent le même problème. Nous prenions le temps d'admirer la vue sur la baie encore baignée par un soleil radieux sur le déclin, le cadre que nous offrait notre chambre et cette terrasse depuis ce jacuzzi. Nous étions détendus, radieux et totalement remis de notre trajet. 

Le jacuzzi est pour nous, un accessoire ayant plusieurs vertues. La détente et le bien-être évoqués plus tôt, mais celles que sont convivialité, sensualité, charge érotique intense... Durant ces cycles, a de multiples reprises nous nous effleurions, nous caressions laissant nos mains courir sur le corps de l'autre... Faisant, l'un l'autre monter la température et notre excitation... Mais pas trop, pas trop vite... J'en profitais aussi pour prendre ma belle en photo avec la vue que nous avions en arrière plan...

Comme chaque fois, je lui montrais le cliché.

Aussitôt fait, ma petite coquine de S. excitée par l'ensemble de cette situation, les propos que nous échangions et nos caresses me disait :

- "Reprends-en une on ne voit pas mes seins pour notre blog !"

Je ne me faisais pas prier. Elle se positionnait de façon à ce que sa magnifique poitrine apparaisse à fleur d'eau... Je prenais une autre photo.

La fin de ce cycle terminé, nous sortîmes du jacuzzi, filâmes sous la douche pour nous laver et nous préparer pour partir manger au restaurant. Ma belle avait décidé de rester dans une tenue tout ce qu'il y a de plus sexy, dont sa mini-jupe et sans culotte.

Dans l'escalier, je la contemplais monter les marches une à une, l'admirant, regardant son magnifique cul onduler et balancer au rythme de ses superbes jambes passant de marche en marche. Je ne pouvais pas rester sans faire une nouvelle photo.

Ensuite nous montâmes en voiture et partîmes à la recherche de la table d'un petit restaurant qui nous attirerait et nous interpellerait.

L'ayant trouvé, nous nous installâmes dans un coin de la terrasse avec l'accord du serveur. Nous étions seuls dans ce coin là de la terrasse, les autres tables étant toutes agglutinées les unes à côté des autres, comme si les clients désiraient la promiscuité d'une autre table à côté de la leur. Alors que nous quand nous le pouvons, choisissons des tables plus isolées pour ne pas choquer nos voisins, ne serait-ce que par nos propos sexuels et libidineux... Nous paratageâmes un excellent moment de douceur, d'abord autour d'un verre d'apéro puis de bonnes assiettes accompagnées de vin suivies de dessert et café. Nous ne parlions que de choses légères, sensuelles maintenant l'un chez l'autre un degré d'excitation elevé.

Nous réglâmes notre addition et décidâmes de regagner notre hôtel pour profiter de notre chambre, de notre jacuzzi et faire quelques photos éventuellement...

A peine arrivés, ma belle s'allongeait et s'étendait sur le lit et me disait avoir besoin de se reposer quelques instants. La laissant se reposer un peu, je sortais sur la terrasse avec cette fois mon matériel de photo dans la quête de quelques clichés à faire. Cette nuit n'était pas lumineuse et le cadre n'offrait pas de quoi faire des clichés saisissant. Alors je me dévêtais et plongeais dans le jacuzzi pendant que ma belle et douce femme S. se reposait dans le lit. Après deux cycles, je pensais la retrouver endormie.

Mais quelle ne fût pas ma surprise quand m'approchant de la baie vitrée pour rentrer dans la chambre, je surpris ma coquine confortablement installée sur le dos, cuisses largement écartées et ouvertes, entourée de ses sex-toys favoris et utilisant son préféré.

De sa main gauche elle écartelait les lèvres de sa belle petite chatte parfaitement lisse et sûrement déjà trempée, libérant ainsi totalement l'accès à son petit bouton surmonté de ce beau piercing et de la droite elle tenait son stimulateur clitoridien favori lancé à pleine vitesse. Il est tellement puissant qu'il peut lui arracher un premier orgasme en quelques secondes seulement et ensuite la jouissance ne cesse plus, les orgasmes déferlant comme des vagues un jour de tempête. C'est bien simple, ce stimulateur a pour surnom, non usurpé, "Le lance roquette à orgasmes" ! Je me saisissais aussitôt de mon appareil photo et décidais de faire quelques photos "volées"... En voici déjà deux... Caché derrière la baie vitrée et dissimulé par le double rideau tiré en partie.

Ma petite cochonne de femme adorée S. prenait déjà son pied, insatiable, à n'en pas douter...

Je cadrais un peu plus serré, l'admirant dans son lâché prise...

Très bientôt le chapitre 5 !

Chapitre 2 :

Après avoir fini notre repas, nous commandâmes tout les deux un café que nous bûmes tranquillent tout en grillant une cigarette, nous amusant comme des fous de notre insouciance et de nos jeux. Puis ensuite nous en demandâmes un second, continuant à profiter de chaque instant de cette journée de détente et de repos, le tout sous un soleil radieux et installés tranquillement en terrasse. 

Petit à petit, le restaurant et la terrasse se vidait, il ne restait bientôt plus que 3 tables, puis 2... L'autre serveur continuait sa tâche et Tom était pris dans son travail. Nous discutions avec ma coquine de femme, nous demandant si nous allions faire avoir son accord quelques photos de ma belle devant notre voyeur ou si nous allions quitter les lieux plus "sagement". Tom passa en terrasse, pris dans son travail. Ma belle était repartie aux toilettes pour une envie pressante. A son passage, je demandais à Tom l'addition. Il me demanda si nous passions un bon moment ce à quoi je lui répondis par l'affirmative tout en profitant de cet instant pour lui montrer les quelques photos que j'avais déjà faites avec mon iPhone. Il admira les clichés et nous complimenta, moi pour les photos et S. pour sa beauté, son charme, sa joie à jouer le jeux de l'exhibe.

Comme l'autre serveur passait à proximité et venait de finir de débarasser la dernière table, il lui dit qu'il pouvait partir, que le service était fini et qu'il fermerait. Sur quoi, le serveur pris congés.

Nous n'étions plus que tout les trois et Tom nous proposa de prendre un autre café installés dans un des salons de jardin. Nous acceptâmes bien volontiers.

Ma sacré coquine de femme S. s'installa dans un fauteuil "single"... Positionné perpendiculairement sur la droite du fauteil, un canapé nous acceuillit moi et Tom. J'étais donc à côté de ma magnifique femme et Tom un poil plus loin mais avec un angle de vue très agréable et dégagé. Nous parlâmes le plus naturellement du monde, de tout, de rien, de nos activités mais Tom pouvait à loisir profiter du spectacle... Et quel spectacle !

Subrepticement, ma coquine de S. s'inclinait pour s'adosser tout en écartant les cuisses puis les refermant quasi aussitôt, exposant rapidement son magnifique abricot doré sous nos yeux qui l'admiraient et le dévoraient...

Puis changeait de position, se redressant, comme prise en faute les pieds tournés vers l'intérieur et cuisses fermées... Comme cela était sensuel et excitant également...

Jamais sérieux dans ce genre de délire, ma coquine ouvrit largement les cuisses, sa jupe remontée, dévoilant sa belle petite chatte toute lisse que les rayons du soleil vinrent aussitôt chauffer plus et lécher. Mais comme vous le savez, il faut savoir se protéger des rayons néfastes du soleil, les UVA et UVB, alors elle trouva la parade nécessaire... Et puis il ne faut pas oublier que nous étions la incogniti, rires !

Les cafés et cigarettes terminées, ainsi que notre discussion ensoleillée par ma sacrée coquine de S. il était temps pour nous de reprendre la route et pour Tom de retourner à ses activités. Nous nous fîmes la bise et nous quittâmes.

Regagnant la voiture, je disais à ma divine femme combien je l'aimais, la trouvais ultra désirable, tellement sexy et sensuelle, terriblement excitante et bien plus.

Nous allions descendre par l'escalier dans le parking quand je lui suggérais :

- "Chérie laisse moi passer devant et descendre jusqu'au demi-palier que je te prenne en photo devant la caméra de surveillance..."

S. me répondit :

- "Va, fonce !" dans un grand sourire.

Je dévalais les quelques marches et faisait une photo en vitesse alors que des personnes arrivaient, nous les entendions sans les voir...

Nous nous acquittâmes du parking, puis reprîmes la route en direction de notre destination, par le bord de mer et la corniche de l'Estérel. Le paysage magnifique défilait sous nous yeux. Petite route taillée dans la montagne couler ocre, à flan de falaise au-dessus de la mer d'un bleu magnifique. Au passage, nous en profitions pour mémoriser quelques lieux qui permettraient, lors d'un autre passage car nous devions continuer à rouler pour ce jour, de faire de magnifique clichés, plus ou moins osés. Plus ou moins exhibes. Plus ou moins photos à la dérobée ou shooting sexy.

Enfin après avoir traversé Mandelieu, Antibes, Nice nous arrivâmes à destination.

Notre hôtel était niché dans un petit coin de paradis, face à la mer, vue dégagée et imprenable. Nous nous garâmes et nous rendîmes à la réception. La personne présente était déjà occupée avec un client et nous demanda de patienter quelques instants en nous installant dans un canapé face à l'acceuil. Ce que nous fîmes. Puis elle s'éclipsa avec ce client pour l'accompagner jusqu'à sa chambre, prestige de 3 étoiles oblige. J'en profitais pour me lever et prendre une photo de ma belle S. qui aussitôt se redressa et ouvrit les cuisses sur ce divin abricot juteux. 

La photo, dans ces conditions d'éclairage n'est pas très nette mais permet de comprendre la situation...

Puis la personne revint, enregistra notre arrivée et nous guida jusqu'à notre chambre très aimablement...

Il était temps de nous installer confortablement.

Très bientôt le chapitre 3 !

Continuons doucement...

Déshabillez moi,

Oui mais pas tout de suite,

Pas trop vite...