Les Plaisirs des PlaisirAddict

Chapitre 6 :

Ma délicieuse coquine de femme S., après s'être malmené le bouton avec son Fairy, s'empalait maintenant sans vergogne sur son rabbit. Les vitesses de vibration des "oreilles" de lapin et du gode étaient lancées à plein régime. Elle était excitée au plus haut point. Insatiable coquine, jouisseuse avide de nouveaux orgasmes la dévastant.

Elle faisait aller et venir le gode avec dextérité, sur toute sa belle longueur, je la voyais et l'admirais le pousser bien au fond de son abricot ouvert et juteux, puis le ressortir parfois entièrement pour mieux l'y repousser, se besognant sa belle petite chatte, comme si une queue la prenait, en sortait pour mieux la prendre à nouveau jusqu'à la garde.

De mon poste d'observation, suffisemment éloigné pour ne pas perturber ma femme adorée, je réglais mon objectif, mon flash et je shootais sans discontinuer. Je capturais le maximum de ce moment. Le gravant dans ma mémoire ainsi que sur la carte mémoire de l'appareil. Je photographiais sans viser, me déplaçant comme un félin autour de ma proie, ne faisant que tourner la bague du zoom de l'objectif. Merci le numérique ! Mais je ne me contentais pas de faire des photos. Je lui parlais, je l'encourageais, lui disais combien je l'aimais, l'incitais à continuer :

- "Vas y ma chérie ! Tu aimes ça hein ! Continue ma coquine ! Tu te régales hein ! Petite cochonne ! Tu aimes ça avoir la chatte ravagée er remplie, dévastée ! Fais toi jouir ma petite chienne ! Petite salope, comme je t'aime !

Aucun de ces propos n'était dit de façon négative, ce n'était qu'un autre témoignage de mon, de notre Amour. Et ce faisant, adorant entendre mes propos elle était de plus en plus excitée...

Dans son plaisir, elle s'exhibait, impudique, m'offrant dans un érotisme total, tout les angles de vue possibles et imaginables sur son intimité. Non seulement je la voyais mais je l'entendais.

J'étais à l'écoute de ses gémissements, de ses cris étouffés ! Elle geignait ! J'entendais aussi une seconde musique, celle des vibrations des deux moteurs du rabbit. Leurs rythmes endiablés était synonyme de lâcher prise total, de volonté de jouir encore et encore et d'être dévastée orgasmiquement. Mais au delà de ces musiques j'entendais un chant...

Ce chant, c'était celui du clapotis. Il m'envoûtait tel le chant des sirènes. Sa belle petite chatte en fusion était détrempée et lors de chaque va et vient qu'elle imprimait au gode j'entendais ce chant merveilleux venir des tréfond et des abîmes de sa chatte, de son coquillage totalement ouvert, inondé par le sac et le ressac de la marée et les vagues de plaisir mouillé.

Un "dernier" orgasme la secoua, la dévasta. La faisant trembler de la tête aux pieds, de quasi spasmes ! Elle se tendait, s'arc-bouttait, criait désormais sa jouissance et ses orgasmes. Elle se contractait tellement que les moteurs du rabbit s'en arrêtaient. Je savais qu'elle ne continuerait pas plus longtemps, au bord de l'évanouissement, la tête qui tourne. Soudain elle se tendit comme la corde d'un arc et "arracha" le gode de son temple de la luxure. Je savais que je n'aurais que quelques secondes pour prendre en photo son temple du plaisir qui malmené ne resterait ouvert, béant et détrempé que très peu de temps.

Vision terriblement pornographique mais tellement belle et érotique de son con se refermant petit à petit après avoir été ouvert et écartelé...

Je la laissais se remettre un peu et reprendre ses esprits quelques minutes.

A suivre dans le chapitre 7 !