Les Plaisirs des PlaisirAddict

Chapitre 5 :

Alors que je shootais en essayant de me faire discret, je n'en perdais pas une miette pour autant... Observant, admirant, détaillant, mattant ma petite coquine de femme prendre son pied avec ce sex-toy auquel elle voue un véritable culte.

Ce sex-toy (dont le petit nom n'est autre que Fairy pour celles et ceux d'entre vous qui souhaiteraient l'acquérir) mérite vraiment son surnom de "lance roquette à orgasmes". Je l'avais offert à ma chérie il y a quelques mois déjà, l'ayant découvert sur un site spécialisé. A en croire ce qu'il en était dit, le simple fait de le poser sur le clitoris et d'en tourner la molette de réglage de la vitesse à un niveau suffisant, et le premier orgasme pointait le bout de son nez !

Il nous le fallait ! Je ne pouvais donc que l'offrir à ma petite coquine de femme dont les orgasmes clitoridien sont très puissant. Et j'ai bien fait !!!

A peine posé sur son clitoris, et les vibrations enclenchées elle part dans de longues jouissances. Les orgasmes se succédant les uns aux autres... Elle est devenue totalement accro à ce sex-toy ! Je lui ai appris, en ne la laissant pas arrêter de jouir après les premiers orgasmes, à se laisser aller. Et elle apprend vite.

Je la voyais, allongée sur le dos, cuisses grandes ouvertes, sa main gauche ouvrant ses belles lèvres pour dégager son bouton surplombé de ce magnifique piercing qui décuple les sensations, faire glisser la tête du Fairy sur son clito, faisant de petits cercles dessus, autour. L'appuyant tantôt plus fort, tantôt l'effleurant. Faisant aussi vibrer son bijou de capuchon. Je l'admirais, parcourue de tremblements, se tendre et gémir, se crisper et se détendre, puis aussitôt repasser par tout ces états. Son visage lui aussi était avagé par les jouissances et les déferlantes orgasmiques.

Entendant le niveau sonore du jouet, je savais qu'il tournait à plein régime. Ma coquine s'en donnait à coeur joie, se dévastait l'abricot et massait violemment ses petites lèvres, son capuchon et son clitoris. Tout en shootant je m'approchais encore quand soudain elle sentit ma présence et me vit...

Prise en flag ma petite cochonne adorée !

Soudain, le drame, le désespoir...

Il s'arrêta de vibrer sans crier gare ! L'accumulateur était vide, elle avait oublié de le recharger après que je ne l'ai utilisée sur elle la fois précédente. Elle se leva d'un bon ou presque, car après tant d'orgasmes elle a toujours les jambes flageollantes, pour sortir le chargeur de la valise et le mettre illico en charge ! On ne laisse pas la Rolls-Royce du sex-toy sans carburant !

Une fois en charge, ma femme me regarda dans un sourire, et de son air déluré et me dit :

- "Ca te plaît de me regarder et de me voir hein ? De me photographier, impudique, ta coquine, ta salope ? D'imaginer nos voyeurs devant ce spectacle ? Tu en veux encore ?

J'acquiesçais immédiatement !

- "Alors shoote, mitraille moi !"

Je ne me faisais pas prier, réglais mon appareil et recommençais à la photographier. Elle était sublime, joueuse, excitée par les sensations qui la parcouraient encore, les seins gonflés, la chatte en ébulition tel un volcan en pleine irruption.

Je faisais un cadrage serré sur sa poitrine magnifique, son haut en crochet l'habillant tout en la déshabillant parfaitement et laissant ainsi apparaître ses tétons ornés de leurs piercings.

Elle me regardait, d'un air lubrique et délicieusement coquin. Les yeux brillant et gémissant à nouveau... Son bassin ondulant comme dans une danse latine sur le nouveau jouet dont elle s'était emparée et sur lequel elle s'était empalée, son rabbit ! Jouet rendu célèbre par une non moins célèbre série télévisée. Nous avions changé les piles la veille, celui la ne faiblirait pas... 

Elle gémissait de plus en plus fort, le faisant aller et venir dans son coquillage détrempé, alors qu'il tournoyait en elle, l'ouvrant et se glissant au plus profond de son intimité mouillée alors que les oreilles vibraient sur son clito inervé et sensible à outrance... Elle se laissa emporter à nouveau par les flots de l'orgasme. Je le savais, je le percevais, je l'entendais. Dans sa jouissance elle se contractait dessus, comprimant les parois de sa petite chatte sur ce pseudo membre, et ainsi faisant ralentir et même stopper les rotations des billes, avant d'à nouveau se relâcher et qu'elles recommencent à tournoyer dans son abricot juteux. 

Comme à chaque instant, chaque seconde, chaque bouffée d'air que j'inhale, j'étais fou amoureux et la contemplait. Encore plus dans ses laisser aller et ses tempêtes orgasmiques !

Je m'y reprenais à de multiples reprise pour avoir la photo "parfaite"...

A suivre lors du chapitre 6 !