En cette fin d’après-midi ensoleillée d’août, nous étions rentrés peu de temps auparavant de
notre journée de farniente sur une plage naturiste des alentours. Nous nous étions douchés ensemble très sensuellement et n’avions revêtu que de petits paréos ne couvrant que nos tailles. Il faut
préciser que nos journées de plage sont souvent très érotiques et sensuelles car nous y échangeons souvent des propos très osés, parlant des fantasmes de l’un, de l’autre, des
deux…
Ce jour-là, j’avais particulièrement éveillé les sens de ma femme en lui parlant à de multiples reprises de l’un
de ses fantasmes les plus excitants : un mini gang bang.
Ce fantasme tel qu’elle l’envisage, se réaliserait avec deux hommes qui viendraient pour l’occasion s’occuper d’elle avec moi,
l’emportant dans les méandres de son épanouissement sexuel et dans celles des orgasmes et jouissances dévastatrices. Son corps n’étant plus qu’un temple de la luxure ayant laissé tomber toutes
ses barrières morales pour succomber aux plaisirs charnels les plus fous mais aussi les plus inavouables pour n’importe quel quidam.
A de multiples reprises dans la journée, je lui avais demandé si elle serait suffisamment en forme pour gérer et assumer ces
trois mâles prêts à s’occuper d’elle, je la taquinait en lui disant que j’avais invité deux amis pour ce soir et qu’à 19:00, ils se présenteraient à notre porte. Je la questionnais sur son état
de forme comme pour m’assurer qu’elle en serait capable sur le ton de la rigolade.
Nous avions eu plusieurs fois ce type de jeux verbaux, mais sans jamais que ça n’aille plus loin. Mais depuis quelques temps
elle m’avait autorisé à lui organiser des surprises. Pour autant, elle était loin de s’imaginer que j’en avais réellement organisé une !!! C’est d’ailleurs pourquoi je la questionnais sur son
état de forme, puisque la veille elle était très mal en point… Mais là, elle m’assurait être au top de sa forme. Je confirmais donc le rendez-vous par SMS en fin de matinée sans qu’elle ne
s’aperçoive de rien. Et de plus belle, toute la journée, je lui disais que ce soir, ce serait très chaud avec nos invités surprises. Ce à quoi elle souriait d’envie, de plaisir suggestifs,
d’érotisme, de fantasmatique, sans s’imaginer qu’une surprise se tramait réellement.
Nous étions donc confortablement installés dans notre salon, et malgré une chaleur étouffante, nous continuions de plus belle
à nous exciter par nos fantasmes. Si bien, que provocatrice, elle se mit de côté sur le canapé, écartant les cuisses et m’exhibant fièrement son abricot parfaitement lisse et déjà juteux. Il
était 18:50 et je m’agenouillais entre ses cuisses pour venir le croquer et m’y abreuver. Je la léchais avidement, lapant son clito, le titillant, jouant avec son piercing, introduisant ma langue
dans sa chatte profondément, lui enfonçant aussi un, puis deux, puis trois doigts au fond de son vagin bien souple, trempé et ouvert et l’amenant très rapidement à jouir sur ma langue et mes
doigts. Elle voulait me rendre la pareille mais je lui rétorquais que nous n’étions pas pressés et que nous avions le temps. Je replongeais aussitôt sur sa chatte et reprenais cette dégustation
de nectar à sa source…
Soudain, l’interphone sonna…
Je me relevais, la regardais droit dans les yeux en lui prenant la main pour l’aider à se relever et je lui dis
:
- « Maintenant Ma Chérie, tu vas dans la chambre, tu t’installes au milieu du lit et tu mets le masque sur tes yeux ! Tu es
belle, je t’aime, ait confiance en moi… »
Elle se redressa brusquement, soudain prise de panique, le souffle coupé, tendue, presque figée tout en vacillant et elle me
dit, alors que je la conduisais dans la chambre, en balbutiant :
- « Hein ? Tu n’as pas fait ça ? C’est une blague ? »
Mais au fond, elle savait déjà que ce n’en était pas une, que ce qui semblait irréel était bel et bien réel. Elle l’avait vu
dans mon regard…
Je la laissais donc sur notre lit, en lui disant de mettre bien au milieu et d’enfiler son masque. Je lui répétais avant de
quitter la chambre :
- « Détends-toi ! Tout va bien se passer ! Tu es belle ! Tu es magnifique ! Tout va bien se passer ! Je t’aime ma chérie !
»
Je retournais ouvrir la porte et je pus accueillir non pas deux mais un invité, José.
Il se trouve que nous avions déjà accueilli José une dizaine de jours auparavant et que ce n’était donc pas un inconnu pour ma
femme. J’avais alors beaucoup discuté avec lui sur un site de rencontre pour libertins sur lequel nous sommes inscrits. José étant masseur et libertin, proposait des massages au départ tout à
fait professionnels et si le feeling était là, alors les massages pouvaient devenir coquins…
La première fois qu’il vint à la maison donner un massage fut une franche réussite. Cet homme s’avérait être un vrai libertin,
respectueux et à l’écoute de ses hôtes. Tout s’était parfaitement passé, un massage très pro, puis une glissade sur un massage à quatre mains lors duquel ma belle et douce put se laisser envahir
par les plaisirs d’un massage érotique, sexuel. Toutes les parties de son corps magnifique et sublime étant passées sous nos doigts. Ne laissant rien au hasard et prenant possession de chaque
millimètre de son corps. Nous avions ainsi huilés son abricot, massés son clitoris, visités sa grotte détrempée, montés les vallées et escaladés les sommets de sa poitrine. Nous l’avions amené au
bord du précipice de la jouissance mais elle n’avait pu s’y laisser tomber… La soirée s’était parfaitement terminée autour d’une coupe de champagne avant que José ne
reparte.
Nous en avions ensuite reparlé tous les deux, en amoureux, et elle était prête à recommencer, frustrée de n’avoir pas su se
laisser tomber dans les abîmes de l’orgasme.
J’avais donc repris contact avec José pour organiser une surprise. Cette fois il viendrait sans qu’elle ne s’y attende du
tout, et elle garderait son masque tout le temps. Enfin le plus longtemps possible !
Quand j’ouvris à José, je mis aussitôt de la musique afin de couvrir nos voix. Je ne voulais pas qu’elle puisse deviner de la
chambre à qui je parlais. Je voulais qu’elle sombre dans ses sensations mêlées, peur et excitation… Nous installâmes la table de massage et libérâmes suffisamment d’espace autour afin d’être à
l’aise. Une fois fin prêts j’allais chercher ma déesse.
Je la rassurais encore puis, je lui dis d’enfiler un paréo tout en voile et strass très sexy, et lui remettant le masque sur
les yeux, je l’emmenais dans le salon. Elle était tendue, stressée et apeurée, mais me laissa la conduire… Une fois dans le salon, je la laissais quelques secondes, le temps d’ouvrir une
bouteille de champagne et de servir des coupes. Je lui disais alors de trinquer avec nos amis en tendant sa coupe devant elle ce qu’elle fit. Si elle avait compté, elle aurait entendu son verre
s’entrechoquer 3 fois, signe que trois personnes étaient là… Subterfuge pour la maintenir en état d’excitation extrême… Quand nous eûmes déguster un peu de nos coupes, je lui reprenais la coupe
des mains et la fit me suivre… Je l’approchais alors du canapé puis je la fis se tourner et faire face au canapé… Crispée elle se sentait vulnérable, intimidée mais excitée croyant être ainsi
présentée, quasi nue à ces deux invités… Soudain, se mains allant à tâtons, derrière elle, elle sentit la table de massage !!! Dès qu’elle l’eut sentie, elle se détendit et se décrispa. Non ce
n’était pas que des inconnus… Même si, à ce moment-là elle se demandait encore combien de personnes pouvaient bien être là, elle savait déjà qu’il n’y avait plus qu’un inconnu puisque l’autre
s’avérait être José dont elle avait reconnu la table de massage.
Nous l’avons aidée à s’y installer confortablement, à plat ventre, la tête sur le repose tête, les jambes très légèrement
écartées. Couvertes d’une serviette éponge car lors d’un massage il arrive que la bénéficiaire puisse avoir froid selon les dires de José.
Nous avons découvert son dos jusqu’à la naissance de ses fesses en repliant la serviette puis avons commencé à la masser. José
s’appliquait dans un massage rigoureux alors que dans le même temps je faisais glisser mes mains aux mêmes endroits mais plus légèrement, plus sensuellement. Chacun d’un côté nous massions et je
profitais aussi parfois des certains instants pour glisser une main sous la serviette et caresser l’une de ses cuisses, tout en effleurement et en érotisme.
Une fois que nous eûmes massés son dos et ses bras ainsi, nous les recouvrîmes de la serviette et cette fois dégageâmes ses
jambes en repliant la serviette jusqu’à ses la naissance de ses fesses. De là où nous étions nous pouvions en entrevoir le début et même un peu plus. Mais nous avions déjà une vue plongeante
magnifique sur le sillon de son abricot parfaitement et intégralement épilé qui se dévoilait dans son entre-jambes encore close. Nous lui massâmes ensemble les pieds, les jambes, les cuisses en
tâchant d’accorder nos mouvements. Parfois, en étant de côté l’un et l’autre, elle pouvait avoir deux mains sur une jambe et sur l’autre une main sur une cheville, une autre sur son épaule en
ouvrant largement les bras… Ce qui lui laissait encore penser que nous étions 3 à nous occuper d’elle.
Nous continuâmes à masser ses jambes, puis se cuisses et glissâmes dans son entrecuisses pour les masser aussi. Nos mains
glissant à l’intérieur de ses cuisses, elle les écarta doucement mais suffisamment pour nous laisser un passage libre à l’intérieur. De ce fait, la vue qu’elle nous offrait sur son abricot
s’agrandissait telle une promesse pleine de douceur. Sans le toucher, nous la massâmes encore le temps nécessaire et suffisant. Puis nous découvrîmes ses superbes fesses et entreprîmes de les
masser. Là, c’est son bel œillet plissé et lui aussi totalement dépourvu de poil qui nous faisait de l’œil. Sans le toucher lui massâmes les fesses et son sillon, nous approchant sans jamais pour
autant l’effleurer.
Une fois que nous eûmes finis nous l’aidâmes à se retourner pour continuer ce massage.
A nouveau nous la recouvrîmes de la serviette en la repliant au niveau du mont de Vénus, laissant ses jambes découvertes ainsi
que son abricot désormais exposé à nos yeux. Nous reprîmes notre massage nous occupant exclusivement de ses pieds, de ses jambes, de ses cuisses et de son entre-cuisses sans JAMAIS ne toucher ni
n’effleurer sa sublime fleur, son temple du plaisir. Prenant soin de bien stopper nos mouvements au niveau du pli de l’aine. Ses jambes cette fois s’étaient ré écartées d’elles-mêmes, comme une
supplique, une offrande ou de bien-être… Lorsque nous eûmes fini, nous la recouvrîmes de la serviette.
Elle avait désormais les jambes et le pubis sous la serviette que nous avions repliée sur son pubis pour nous occuper de son
ventre, de son buste, de ses épaules et de ses bras.
Nos mains glissaient de concert, dans un ballet, prenaient un sein et tournaient dessus, en rond, autour, à ras de ses tétons
piercés. Puis nous descendions sur son ventre massions son pubis à deux, trois voire quatre mains et recommencions dans une chorégraphie. Je pouvais depuis qu’elle était sur le dos voir son
visage, serein, détendu, parcouru de frissons et de sourires de bien-être. Par moment je laissais ma main glisser sous la serviette, passant mes doigts le long de son abricot pour en prendre le
taux d’humidité et d’excitation, m’assurant ainsi que tout allait bien et qu’elle se sentait bien. Me permettant aussi de savoir la suite à donner à ce massage pour l’instant teinté à haute dose
d’érotisme et de sensualité sans que cela n’ait été plus loin. Ainsi, je pus donner le top départ de la poursuite à ce massage.
Nous ôtâmes donc totalement la serviette qui lui recouvrait les jambes et le pubis et elle fut soudain totalement dénudée, le
corps huilé, devant nous. Nous pouvions admirer sa plastique à couper le souffle, mise en valeur par les reflets de la lumière sur le hâle de sa peau brunie par le soleil et rendue luisante par
ce massage aux huiles essentielles. Nous prîmes alors un peu d’huile encore sur nos doigts et délicatement, nous vinrent les poser sur son pubis, le massant et descendant doucement et
délicatement sur son sexe lisse, l’enduisant totalement, massant les grandes lèvres, les maintenant fermées et emprisonnant son clitoris soumis à ces pressions latérales qui le stimulaient sans
pour autant le toucher. Nous remontions le long de sa magnifique fente, l’effleurant, la stimulant, nos doigts se croisaient dessus, sans avoir encore glissé dedans. Nous continuions l’un l’autre
à masser d’une de nos mains ses seins ronds et lourds, nous croisant sur sa poitrine, jouant pour qu’elle ne puisse jamais savoir quelle main appartenait à qui. L’ambiance était montée comme la
chaleur ambiante de quelques degrés et plus encore quand elle se laissa aller, ouvrant et écartant langoureusement ses cuisses, nous offrant un accès total et illimité à son intimité huilé,
humide et trempée. Alors nous continuâmes à masser cette belle chatte qui s’offrait à nos caresses, l’amadouant, l’apprivoisant bien qu’elle ne fût pas sauvage. Ma belle ondulait et gémissait
doucement et mollement sous ce traitement. Nos mains jouaient et massaient aussi ses seins, remontaient dans son cou pour redescendre dessus, titillant les tétons dressés et les
malaxant.
Etant allongée sur le dos, elle avait de chacune de ses mains trouvé le chemin de nos virilités. Elle les enserrait, les
massait, les branlait doucement et délicatement et parfois bien plus vigoureusement. Sur ses doigts par moments, elle sentait perler des gouttes de liquide séminal signe de notre bien-être et de
notre excitation, ce qui l’excitait bien plus encore et l’incitait à se laisser aller, plus loin…
Sous la chaleur et l’excitation son abricot, tel un fruit mûri au soleil, s’était ouvert et nous allions l’aider à s’épanouir.
Ses petites lèvres se divulguaient délicatement ainsi que son clitoris et son piercing. Nous les effleurions tout en faisant glisser nos doigts, sans appuyer, le long de son beau sillon. Puis
nous glissâmes plus à l’intérieur et sous nos doigts sa chatte s’entrouvrit un peu plus. Nous massions désormais ses grandes lèvres, les petites ourlées parfaitement dessinées, son clitoris que
parfois nous emprisonnions entre deux ou trois doigts. Nous glissâmes aussi petit à petit dans son intimité mouillée et prîmes possession de l’abîme de son temple de la luxure. Des doigts, un
puis deux, puis trois et d’autres glissèrent en elle.
Depuis que nous avions assailli puis pris possession de son temple de la luxure, elle ne retenait plus ses gémissements ni ses
ondulations. Elle était submergée de sensations et par les assauts de toutes ces mains, de ces doigts qui avaient fait de son corps un terrain de jeux. C’était par moments vingt doigts
simultanément qui jouaient, massaient, palpaient, partaient à l’assaut de sa belle chatte. Certains s’enroulant, appuyant autour, contre et sur son beau clitoris, d’autres étirant ses grandes
lèvres, les ouvrant, puis faisant de même avec ses petites. Nous avions bien perçu qu’elle appréciait beaucoup d’être ainsi, le sexe béant, ouvert, et nous lui offrions cette sensation
d’écartèlement qu’elle aime tant, l’entendant gémir de plus belle dans l’attente de sensations plus fortes, plus intrusives. Alors, nous pénétrâmes dans ce minou luisant d’huile et de mouille
abondante. Y enfonçant nos doigts, un, puis deux, puis trois, puis… profondément, les écartant largement à l’intérieur et jouant avec les points sensibles de son vagin détrempé lui arrachant
d’autres gémissements et d’autres mouvements du bassin. Nous nous étions placés de telle sorte que nous la maintenions totalement ouverte, telle une scène pornographique, ouvrant chacun d’une
main les pétales de sa fleur, pendant que l’un de nous la pénétrait et la prenait avec ses doigts et que l’autre lui massait le bouton d’extase, le faisait rouler sous ses doigts. Parfois c’était
l’un qui la maintenait ouverte et l’autre qui jouait, puis les rôles s’inversaient dans une complicité. Il était impossible pour ma sublime femme de savoir qui avait ses mains et
où…
Elle se laissait aller, sombrant dans les nymphes de l’extase et de la jouissance, se laissant emporter par les vagues et les
flots du plaisir se déchaînant en elle, n’étant plus désormais que l’épicentre de ses orgasmes. Elle se laissait dériver sur ces flots, jouissant, prenant orgasmes sur
orgasmes.
Elle se cambra soudain et nous l’aidâmes à se redresser, arc-boutée, dévastée par un nouvel orgasme ! Nous ne la lâchions pas,
sentant qu’elle pouvait jouir encore, encore et encore…
Elle demanda un petit interlude, afin de soulager une envie pressante et donc de se passer sous la douche dans la
foulée…
Je profitais de cet instant pour aller la voir sous la douche et l’embrasser. Je saisissais aussi ce moment pour lui demander
comment elle se sentait. Elle m’avoua se sentir parfaitement bien, se régaler de ces plaisirs inavouables, sombrer dans l’extase sans réfléchir, si bien que ce n’était point une envie pressante
qui la tiraillait… Dans la douche, le jet d’eau passant sur son abricot totalement innervé, déclencha un dernier orgasme et libéra un geyser venant du plus profond d’elle. Elle venait de faire la
femme fontaine…
Elle nous rejoignit dans le salon, uniquement vêtue de son magnifique petit paréo, sans son masque, découvrant ainsi que nous
n’étions « que » deux… Nous en profitâmes pour boire une autre coupe de champagne, discuter, et déguster quelques petits fours prévus spécialement pour l’occasion. Pour qu’elle ne se doute de
rien, ils étaient prêts et congelés, il ne fallait plus que les passer au four. Nous discutâmes de tout et de rien, refaisant le monde et laissant ma sublime femme maintenant totalement
décontractée, sereine et épanouie se remettre de ses émotions et de ses sensations. Par moments, elle nous avoua, ressentir encore toutes ces caresses même après coup, au plus profond
d’elle-même… Elle se laissa aller à oser dire que c’était vraiment divin, trop bon et délicieux, non sans me regarder me faisant ainsi comprendre que seul moi comptais. Je le sentais, je le
savais.
Après cet interlude bienvenu, je récupérais le bandeau et le replaçais sur les yeux de ma divine et sensuelle femme et
l’accompagnais à nouveau vers la table sur laquelle elle ne se fit pas prier pour monter. A nouveau elle s’installa confortablement sur le dos et sans même que nous l’y aidions se positionna
légèrement en diagonale afin d’avoir la tête proche d’un bord. De même, dès qu’elle eut trouvé sa position et que nous eûmes posé nos mains sur ses cuisses elle les ouvrit très largement, bien
plus encore qu’auparavant, totalement ! Signe de son bien-être et de son abandon total, de son laisser aller, de son désir de continuer et de son envie d’aller plus loin… A nouveau, l’un et
l’autre nous mîmes chacun d’un côté de la table, changeant parfois de côté durant ces ébats, tournant autour d’elle. Nous reprîmes nos caresses, sensuelles puis très vite beaucoup plus sexuelles
là où les avions cessées… Son corps et son intimité était encore frémissante des assauts subit un peu plus tôt et nous l’avons de nouveau amenée au bord de l’orgasme, mais beaucoup plus
rapidement. Lui en donnant à nouveau avec nos doigts qui se disputaient sa belle petite chatte ouverte, luisante, mouillée et son clitoris si sensible, qui couraient sur ses seins pour en
titiller les tétons et les masser…
Puis, enfin, comme un nouveau départ, une langue se posa sur l’un de ses tétons pour le lécher et lui faire sentir sa douceur…
A qui pouvait-elle bien appartenir ? Dans le même temps des mains ne quittaient pas son autre sein, son ventre et son abricot juteux tout en maintenant ses cuisses bien ouvertes. Elle sentit
alors un souffle frais parcourir son sillon, puis une langue en faire autant. La langue caressait et suivait le contour de ses lèvres, puis glissa sur les petites et finit par se poser sur son
bouton et commença à jouer avec son clitoris et son piercing. Elle gémit plus fort, plus profondément. La langue lui parcourait l’intimité, rentrant aussi à l’intérieur provoquant d’autres
ondulations afin de la sentir plus loin en elle… Remontait et repartait à l’assaut de son clitoris. Ne le quittant plus. Deux bouches s’en prenaient à elle et quatre mains la parcouraient. La
langue qui assaillait son clitoris ne le quittait plus. Celle qui s’était posée sur ses seins non plus. Des mains la maintenaient cuisses ouvertes et sexe béant alors que des doigts la
pénétraient vigoureusement et profondément en cadence avec la langue qui la harcelait. Elle n’était plus que gémissements, ondulations, spasmes et soudain dans une délivrance elle gémit de plus
en plus fort en jouissant sous ses assauts qui ne cessaient plus. Elle avait repris possession de nos queues dressées et les branlaient vigoureusement. Continuant à jouir sans discontinuer, elle
se mit à en sucer, comme elle le fait si bien, vigoureusement l’une tout en branlant l’autre. Elle faisait aller et venir cette queue dans sa bouche avec avidité. Celui qui recevait cette
fellation donnait également des coups de reins semblables à ceux d’une pénétration en lui tenant la tête, non pas pour la forcer mais pour l’accompagner, sans appuyer dessus, mais montrant sa
présence. Elle se déchaînait sur cette barre de chair qui lui remplissait la bouche comme elle aime. Etouffant ses gémissements qui désormais étaient plus forts, moins retenus… Sa petite chatte
en chaleur était dévorée, malmenée et remplie de ces doigts lui arrachant encore d’autres jouissances et de multiples orgasmes. Ses seins, massés, caressés, titillés, léchés et flattés. Elle
n’était plus qu’une immense source de plaisir et d’éveil des sens.
Après un énième orgasme, les rôles s’inversèrent… La langue qui venait de la dévorer et les doigts la fouiller quittèrent cet
abricot au nectar abondant… Une autre langue vint s’y poser et des doigts y pénétrer ainsi que masser sa petite rondelle plissée et humectée de sa cyprine. Elle sursauta à ce contact mais
aussitôt se laissa à nouveau aller... Elle prit possession de cette autre queue qui lui était fièrement tendue et la suça avec vigueur et énergie, comme elle le fait avec délice. Cette fois, des
mains lui avaient relevé les jambes tout en les maintenant écartées offrant ainsi d’autres sensations, des variations de plaisir. La langue glissant aussi plus profondément en elle quand les
doigts voulaient bien quitter temporairement les lieux. Aucune partie de son corps n’était délaissée même si nous concentrions nos attentions sur les sources de plaisir de ma femme adorée. Elle
était prise de spasmes, jouissant, se laissant emporter, se faisant l’image de cette scène d’un homme lui dévorant l’abricot et le fouillant tout en suçant elle-même la queue fièrement tendue et
bien raide d’un autre homme…
Ayant été ravagée par les orgasmes et en désirant encore, en voulant plus, elle demanda à nouveau (elle l’avait déjà fait plus
tôt dans la soirée) à s’installer différemment, plus confortablement pour pouvoir mieux s’occuper de nous. J’avais jusque-là refusé, lui expliquant que l’on s’occupait d’elle et que je voulais
qu’elle se laisse aller profitant de ce qui lui était donné de recevoir…
Elle avait désormais ôté son masque et la regardant, décontractée, animale, sauvage, belle comme une diablesse et me
transmettant tout son amour de lui offrir de tels instants, j’acceptais.
Nous nous dirigeâmes alors vers la chambre, dans laquelle les ventilateurs censés nous rafraîchir tournaient à plein régime.
Il faut dire que nous étions en pleins ébats alors que la journée avait été caniculaire et que la température ambiante avoisinait avec les 31°C… Ma superbe et divine femme s’installa aussitôt au
milieu de notre lit King Size, à demi assise, confortablement installée les coussins calant son dos et les jambes repliées et bien écartées.
Aussitôt, je me mis à genoux au niveau de son visage et elle enfourna avidement mon sexe raide, me pompant et me branlant en
même temps. En même temps, une langue retournait dévorer son abricot gorgé de nectar et totalement ouvert tel une fleur qui venait d’éclore. Des doigts passaient dessus et plongeaient dedans.
Tout en me suçant alors que je lui tenais la nuque, elle guidait de sa main libre la tête de celui qui lui dévorait le minou voracement, le guidant ainsi pour qu’à nouveau elle puisse jouir. Elle
me regardait, gourmande, excitée, vorace et souriante tout en dévorant mon sexe alors qu’elle se faisait dévorer la chatte. A nouveau je lui glissais quelques mots :
- « Tu te régales ma petite cochonne ? Ça t’excite hein petite salope ? Dis-le que tu aimes ça !»
Sa réponse dans un râle, un souffle, discrète ne se fit pas attendre :
- « Oui j’aime ça ! »
Elle me regardait excitée de plus belle et s’en donnait à cœur joie…
Puis nous changeâmes de position, cette fois, je prenais place entre ses cuisses pour la dévorer et la goutter à nouveau
jusqu’à ce qu’elle soit de nouveau emportée par la jouissance alors que notre invité lui maintenait les jambes écartées et en l’air tout en se faisant dévorer et happer la queue avec vigueur par
ma femme torride qui le pompait avec application. De là ou j’étais, nous nous regardions, elle la bouche remplie par cette barre de chair et moi la langue maltraitant son clitoris et mes doigts
fouillant son abricot détrempé. Elle me souriait et réciproquement. Son regard me disait :
- « Regarde comment je m’éclate et je profite ! Comment je le suce bien pendant que tu dévores ma belle petite chatte…
»
Nous l’amenâmes ainsi jusqu’à un nouveau paroxysme, la renversant, lui faisant décoller le bassin du lit, tendue comme un
arc.
Ensuite, je m’allongeais à demi sur le lit et elle vint aussitôt se placer à quatre pattes perpendiculairement à moi
s’emparant de ma queue qui remplissait sa cavité buccale et la suçant, la pompant frénétiquement. Notre invité s’extasia de sa superbe croupe tendue, la flatta, la caressa, puis commença à lui
infliger une feuille de rose, seule caresse autorisée à ce niveau. Un frisson de stupeur la parcouru puis elle profita de cette caresse. Il glissa à nouveau ses doigts en elle, lui dévora la
chatte et la rondelle. Sachant qu’elle aime être ouverte, de là où j’étais j’en profitais pour écarter ses fesses et même sa petite chatte pour qu’elle profite des caresses encore plus comme elle
adore le faire. Elle continuait à me pomper en me regardant.
Soudain, elle se laissa totalement aller et nous dit :
- « J’ai envie de me faire prendre en double ! Prenez-moi la chatte et écartelez-moi ! »
Aussitôt l’eût-elle dit, aussitôt s’empala-t-elle sur ma queue déjà dressée et raide en me faisant face. J’en profitais pour
lécher et dévorer ses seins et lui dire :
- « Petite salope ! Tu as envie de te faire défoncer en double hein ? Deux grosses queues bien raides dans ta petite chatte,
c’est ça que tu veux ? Petite chienne ! »
Notre invité vint se positionner derrière elle pour me rejoindre dans son abricot fin prêt pour une double vaginale. Seulement
lui, comme moi, il faut bien l’avouer, étions anéantis par la chaleur, qui nuisait à notre force et à notre vigueur. Le temps de mieux s’installer nos virilités s’étaient fait la malle… Il était
02:30 et nous étions fatigués et harassés voire terrassés par cette chaleur…
La partie était finie ! Ma chérie heureuse, épanouie et épuisée !
Il était temps de prendre une douche et un café…