Chapitre 7 :
Ma coquine, épuisée après s'être donnée tant de plaisir, adonnée aux joies de l'onanisme et avoir sombré dans les bras tentaculaires des orgasmes avait besoin d'un repos bien mérité. Laissant l'excitation redescendre suffisemment pour qu'elle ne devienne pas insupportable et douloureuse.
Une séance de jacuzzi reposante et réparatrice accompagnée d'un verre et d'une cigarette, voilà qui permettait de se remettre et de reprendre ses esprits. De mon côté, je la félicitais pour son incroyable béauté, sa sensualité irréelle et son lâcher prise s'exhibant sans retenue, oubliant les barrières sociales et morales d'une soi-disant bien séance, jouissant sans autres limites que celles de son corps. Mais je lui disais aussi que la soirée ne faisait que débuter.
- "Mais ce n'est pas fini. Je n'en ai pas fini avec toi ma cochonne... C'est à mon tour de m'occuper de toi ! Et toi de moi !
Sortis du jacuzzi et séchés, nous regagnâmes la chambre. D'une pichenette je la propulsais sur le lit sur lequel elle s'effondrait mollement, une sourire lubrique accroché aux lèvres. Sur les draps trainaient encore ses sex-toys. Mais je n'avais pas l'intention de les utiliser. Au contraire. Je la faisais installer adossée, les épaules et la tête câlée par des coussins et me plaçais, allongé à plat ventre, entre ses cuisses qu'elle avait instinctivement ouvertes et écartées me dévoilant à nouveau sa conque. Je posais ma main gauche à plat dessus... Elle irradiait toujours de chaleur, malmenée qu'elle avait été. Je commençais à lui masser la chatte délicatement, l'enveloppant intégralement de toute ma main, fermée et doigts serrés, doucement, faisant de petits cercles. Imprimant à son mont de Vénus, ses grandes lèvres encore gonflées et jusqu'au périné de lents mouvements mais aussi des pressions plus ou moins appuyées. Elle avait la tête tantôt renversée dans les coussins, tantôt en appui sur ses coudes elle m'observait faire.
Elle gémissait doucement et à nouveau se laissait inonder par les sensations que j'imprimais en elle. L'abricot à nouveau irradié par les rayons du plaisir. Sentant qu'à nouveau elle se laissait glisser dans ses sensations, j'ouvrais les doigts. Ce faisant, j'ouvrais aussi les lèvres de son coquillage, les écartant, mon majeur glissant sur son clito. Je ne cessais de masser sa belle petite chatte parfaitement lisse, mais cette fois son clitoris n'était plus emprisonné mais bel et bien titillé !
Ma coquine, se saisit alors de l'iPhone et commença à faire des photos...
La sentant dans une excitation profonde, mais observant son abricot rougi d'avoir été si longuement malmené par le Fairy et le Rabbit, je me saisissais d'une bouteille d'huile de massage aux pépins de raisins et délicatement, prenant tout mon temps, la laissant suspendue et dans une forme d'attente, j'inclinais la bouteille pour en laisser couler un trait sur son capuchon et son clito.
Elle sentait l'huile "tomber" sur sa chatte brûlante, puis dégouliner autour de son clito et enfin le long de ses petits lèvres ourlées, gonflées et rendues saillantes par l'excitation.
Je reprenais alors mon massage de sa petite chatte rendue luisante et brillante par son excitation et cette huile aux multiples vertues. Apaisante lors d'une excitation soutenue longtemps comme c'était le cas, mais aussi terriblement excitante, permettant à ma coquine d'à nouveau se laisser aller, la chatte luisante et glissante, électrisée de nouvelles sensations et dans l'attente inexorable de nouveaux plaisirs.
Je la massais de plus en plus vite, lui ouvrant les petites lèvres, tournoyant et appuyant sur son clitoris. Je ne le quitte ou ne le délaisse à aucun instant. Mes autres doigts eux massent ses petites lèvres délicieusement ouvertes, les pinces l'une contre l'autre, les ouvrent puis glissent et s'immiscent dans son vagin parfaitement lubrifié et serré, mais d'un accueil parfait. Un, puis deux. J'ai besoin de mes deux mains. De l'une j'ouvre ses lèvres et masse son bouton, de l'autre je lui fouille l'intimité. J'ouvre sa fleur et l'aide à s'épanouir. Elle gémit de plus en plus fort. Tantôt mes doigts vont au fond, tantôt vers le bas, tantôt vers l'os pelvien et la zone du point G. Ressortent pour mieux reprendre. Je la sens onduler. Elle danse à nouveau sur mes doigts. Elle se contracte. Je ne modifie plus mes gestes, je me déchaîne sur son clitoris et sur son point G. Elle se crispe, bloque sa respiration. Soudain, une fraction de seconde seul le son de mes caresses rapide se fait entendre.
Enfin c'est l'explosion, elle jouit dans un râle qui devient cri et complainte, se contractant, emprisonnant mes doigts entre ses parois. Je ne m'arrête pas pour autant... Quelle idée ! Je continue... Mes doigts s'immobilisent dans son coquillage alors que sur son clitoris je me déchaîne. Puis je reprend de très rapides va-et-vient dans son coquillage, projettant mes doigts vers le bas et la faisant à nouveau atteindre des sommets. Son bouton est tellement irradié qu'il est devenue hyper sensible, beaucoup trop même pour un contact manuel...
Alors, tout d'abord, comme un chef de cuisine j'admire mon oeuvre puis la goûte et la déguste, en connaissant toutes les saveurs. Ma langue vient se poser sur son bouton et l'effleurer. Une décharge électrique la parcourt.
Cette fois c'est de ma bouche que je l'amène vers les sommets. De mes doigts je lui écartèle la chatte, sachant combien elle aime se sentir ouverte. Je tyrannise son bouton, fouille sa conque de deux, trois, puis quatre doigts. Les ressort puis glisse ma langue le plus profondément possible dans son vagin inondé de mouille, la dégustant au plus profond de son intimité détrempée. Elle jouit à nouveau. Plusieurs fois, inondant mes doigts et ma langue. Je m'abreuve à sa source intarissable. Elle sombre et crie désormais sa jouissance. Tant pis pour les voisins. Ca décuple mon plaisir ! Je me déchaîne sur sa chatte. Puis, lui laissant reprendre son souffle, j'admire mon oeuvre...
A suivre très bientôt dans le chapitre 8 !
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